I don’t much care for coincidence. There’s something spooky about them: you sense momentarily what it must be like to live in an ordered, God-run universe, with Himself looking over your shoulder and hepfully dropping coarse hints about a cosmic plan. (Julian Barnes)
Archives mensuelles : février 2010
#1824
Avec aux manettes l’ancien chroniqueurs littéraire de Fiction, un nouveau webzine d’actualité du livre, assez ambitieux: http://www.lavielitteraire.fr/
#1823
Jours mous, humeur maussade… Pas la motivation, pas l’énergie, un vague bourdonnement en tête, et en plus aujourd’hui il pleut, ciel bas, grisaille, pas de lumière. Tant qu’à être sous une averse j’aimerai tellement me trouver à Londres. Trop longtemps sans Londres. Hier j’avais envie de ne rien faire et ça tombe bien, plusieurs copains ont défilé à l’improviste, me donnant alibi pour ne guère agir. Lectures? Hide my Eyes de Margery Allingham (après avoir lu un hommage à, autant lire l’auteur elle-même), petit polar admirablement retors, à la fois glaçant (le tueur) et tendre (les autres). Commencé hier soir Flaubert’s Parrot de Julian Barnes.

