#1931

Lecture du Voleur de Georges Darien. Dieu que c’est chiant. Enfin, il y a des demi-pages où il se passe quelque chose et dans ces cas-là c’est amusant, comme une version sombre de Lupin, mais il faut entre-temps se taper trois pages et demi de vociférations cyniques et enflammées sur la méchante société et les méchants riches. Quite tedious. Tant la préface d’Andre Breton que l’intro de l’éditeur prennent la peine de nous expliquer que ce roman ne s’est pas vendu. Eh bien, eh bien, comme c’est étonnant.