Ah ah, miracle o combien futile de la technologie : écrire de son immense chambre d’hôtel a Vienne ou l’on vient juste d’arriver après 2 heures d’avion, le CAT (train reliant l’aéroport au centre-ville) et deux stations de métro (avec un changement). C’est bien, des vacances. Mais quelle empreinte carbone pour tout cela ?