Grande, immense tristesse. Moebius est décédé ce matin. Je ne trouve pas les mots pour exprimer l’ampleur de mon chagrin, le choc. L’ouvrage collectif que je dirigeais aux Moutons électriques (dans le même esprit que notre Alan Moore) se fera malgré tout, bien entendu, mais qu’il soit posthume me bouleverse. S’il y a quelqu’un qu’en bédé j’admirais énormément, au même niveau que Franquin, c’était bien monsieur Jean « Moebius » Giraud. Un géant.
#2206
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