Retour TGV. Il y a quelque chose de fascinant dans l’immensité plate de ce paysage, ces champs jusqu’à perte de vue au bout d’un horizon opalescent, juste la fumée des nuages gris en étages infinis au-dessus d’une telle plaine, avec çà et là simplement la rondeur d’une bosquet, l’ourlet d’une suite d’arbres au bord d’un chemin invisible ou le phare incongru d’un château d’eau.