Je ne commente jamais votre blog, quoique j'y passe ce jour, mais cette fois-ci je n'y tiens plus : mille mercis de traduire cet exceptionnel essai de Coverley et de l'orner d'une aussi sublime couverture !
Les deux autres sont aussi fort intéressantes, mais la poésie qui se dégage de ce profil hanté par des voies improbables m'enchante au plus haut point. 🙂
comme par hasard j'aime beaucoup la couverture du premier et du dernier qui sont aussi ceux que j'aimerai lire!
Je ne commente jamais votre blog, quoique j'y passe ce jour, mais cette fois-ci je n'y tiens plus : mille mercis de traduire cet exceptionnel essai de Coverley et de l'orner d'une aussi sublime couverture !
Les deux autres sont aussi fort intéressantes, mais la poésie qui se dégage de ce profil hanté par des voies improbables m'enchante au plus haut point. 🙂
merci beaucoup Julie – je dois dire que je prends un plaisir immense à traduire et adapter ce volume!