De retour de cette balade verte, hier, je me disais depuis le train qu’en dépit de la terrifiante avancée des flots de la banlieue, même les impressionnistes reconnaitraient encore qq portions de leurs paysages : il reste des champs en bord d’Oise, et puis ce pré rouge de coquelicot au sortir des bois d’Asnières, ou encore cette enfilade de peupliers au bord d’une rivière d’un vert opaque…