#6248

Tout en travaillant (lire, écrire) en tâche de fond sur un « grand projet », j’avance à pas rapides sur le dixième roman du cycle Bodichiev (Éditions Koikalit). Ayant dépassé les 200 000 signes je sais maintenant où je vais, la logique interne ayant fait son œuvre. J’écris généralement en scripturant (comment disent les jeunes maintenant ? En « jardinier »), c’est-à-dire sans plan préalable, seulement quelques idées en tête et une envie, cette fois, après l’apocalypse et les explosions du précédent tome, plus de calme. Juste avant que Bodichiev « tombe en retraite » comme on dit en Touraine, avec quelques aperçus de la vie de certains de mes personnages secondaires – et pas de morts, sauf une sans doute, d’un des protagonistes historiques du cycle. Écriture sans pression, de pur plaisir, avant de revenir à un roman de fantasy laissé mijoter à feu doux (52 000 signes) et dont les idées poussent lentement.

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