Archives de catégorie : écriture
#6135
Mon éditeur habituel voudrait que je lui écrives encore un autre roman de Bodichiev, un dixième volume. Je crois bien qu’il a gagné.#6162
Les Mystères de l’Empire est un roman choral situé dans l’univers de Bodichiev, avec ce dernier parmi une cohorte de protagonistes / points de vue, sur un cataclysme qui secoue London et l’Empire anglo-russe. L’œuvre la plus ambitieuse dans ce cycle, dont c’est déjà le neuvième volume : du jamais vu pour une uchronie publiée en France. Toujours sous mon pseudonyme d’Olav Koulikov. (couverture par Timothée Rey)
#6157
Revenu de la cinquième édition du festival Hypermondes avec le sourire et quelques parcelles de documentation supplémentaire. C’est chouette, d’avoir un si beau salon de « notre club », comme dirait Serge Lehman, pas loin de chez soi. Et merci à la présidente Natacha pour dans son discours final cet hommage à l’ami disparu, Philippe Ward.
#6156
Il est là, mon beau gros nouveau roman, sur le stand des éditions Koikalit au festival Hypermondes ce week-end (Mérignac). J’avoue être assez fier de ce pavé, qui représente trois années d’écriture. Les Mystères de l’Empire va être disponible en version papier sur le site de Koikalit, et en version numérique sur le site de Flatland.
Des signes inquiétants se multiplient à London, la capitale de l’ouest de l’Empire anglo-russe : petits engins entraperçus dans les eaux de la métropole, vagues de panique des rats qui s’enfuient des sous-sols, bruits et rumeurs étranges… Et même plus loin, un corps est retrouvé… Il se pourrait même que sur le rivage de la lointaine Stamboul, des complots s’ourdissent…
Réunis après sa mort par son fils Olav, les écrits de Viatcheslav Pavlovitch Koulikov retracent la carrière d’un détective hors paure au temps des grands dirigeables et des premières intelligences artificielles. Ce neuvième volume est un roman choral dressant un tableau plus large de cet univers parallèle, dévoilant un drame d’ampleur internationale. La longue paix de l’Empire est en danger. Et plus que jamais, souvenez-vous de l’an 3000…
