#2477

Lu ces derniers jours deux romans de Lisa Goldstein, pour moi l’une des très grandes dames de la fantasy — assez peu traduite en France. J’attaque un Graham Joyce, bien mieux suivi en traduction. L’approche littéraire du merveilleux semble avoir acquis jusqu’à présent nettement moins de légitimité, de reconnaissance disons, que celle-ci en fantastique, classique et reconnue. la fantasy demeure dominée, écrasée, par la pression commerciale, ce qui fait que nombre des auteurs les plus riches du genre ont toujours peiné à être publiés, sans même parler d’être traduits.

« Whenever they had a shock or experienced a disturbance of any kind they had poured tea on it (…) The fact is they poured tea on it even when they hadn’t had a shock, usually six or seven times à day. » (Graham Joyce)

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