Erf, bon, va mieux falloir parler de petits oiseaux. Genre, durant ces quelques jours de canicule subite, je n’entendais plus le merle, au point que je m’étais même un peu inquiété : mais il était toujours là, et madame aussi, sautillant de branche en branche dans le troène et le micocoulier. Depuis cette nuit que la température est revenue à des niveaux agréables, le merle chante de nouveau, d’évidence la chaleur ne lui convenait guère.