Des étourneaux, me demandai-je, il y en a-t-il dans le quartier? Eh bien oui-da, affirmatif, je viens de les entendre piailler d’envergure sur le boulevard. Ils nichent au sein du feuillage d’une rangée de petits tilleuls et, dans la lumière bleu-or nocturne, les volatiles demeurent invisibles, seules remuent et bruissent les frondaisons.