Entre les lectures diurnes – en ce moment beaucoup de bédés -, les lectures du soir – un amusant polar victorien magique et gay, rien que ça, de Melissa Scott – et les lectures nocturnes, d’insomnies – sur la liseuse, la suite des The Shadow et les Sœurs carmines – je frôle sinon la dispersion, du moins une forme étonnement plaisante de schizo…