Un train passe et dans ce vent froid du matin le souffle pousse vers moi son long grondement de bronze, entre marée et orage. J’ai lu que de nouveaux habitants de Lormont voudraient que cessent les appels sonores obligatoires : s’installer au-dessus d’une zone ferroviaire trouée de tunnels et vouloir que les trains se taisent, quelle effarante sottise.