Estoy contento, disait dans le bus un vieux punk à un prolo râpé et rougeaud. Ils discoururent en espagnol de leurs philosophies de l’existence, et j’ai presque tout compris, il suffirait de presque rien pour que je retrouve une maîtrise correcte de cette langue, je m’en amuse. C’est dimanche donc marché et brocante, je ne trouve plus grand-chose à cette dernière, le peu est toujours plaisant, et bien suffisant pour la maison pleine à craquer. Hier matin c’était une balade en forêt. Le ciel pèse fort, il faut résister et attendre la pluie, écrire malgré tout.
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