Près de 640 000 signes. J’imagine que le roman courra jusqu’aux 650, alors. J’arrête pour ce soir mais je pense discerner comment finir tout cela. Le week-end prochain devant être mon dernier de l’été à cette résidence d’écriture, il semblerait que tout se « goupille » correctement, nonobstant les relectures et réécritures. Touching wood et tout ça. En parlant de bois, ce fut une après-midi de bourrasques, les grands arbres portent une voix de marée galopante, qui avec la puissante senteur résineuse m’évoque des plages et l’océan. Mais ce sont seulement les feuillages qui se brassent et bruissent.
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