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Quelle idée curieuse et passablement masochiste me conduit donc à écrire, littéralement à mes heures perdues ? Après quelques mois à rédiger des fragments (de moins en moins) courts, je me retrouve un peu au pied du mur de mon « grand roman » (une grandeur à ne prendre bien entendu qu’en mesure de mes ambitions personnelles). Il va me devenir de plus en plus difficile de ne rédiger que des passages, je pense, et j’étais sottement un peu anxieux hier soir, au point de n’avoir pas rédigé la scène qui me trottait en tête ce dimanche (mais je ne l’ai pas oubliée). Ce grand puzzle, vais-je parvenir à l’assembler ? Sa machinerie m’a occupé un bon moment au lieu de lire au lit, et si, et si ? Quand, aussi : comment parvenir à mener cette tâche d’ampleur sans devoir attendre la disponibilité probable de cet été ?

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