La nature me gâte : je viens d’avoir le bonheur d’écrire dans la fraîcheur matinale tout en observant du coin de l’œil un renard qui allait et venait, tranquille, juste devant moi dans la prairie du devant. Je ne vois pas le merle qui, sous l’immense séquoia, gratte le tapis d’aiguilles avec insistance, mais le devine.