À considérer le paysage entre, disons, Tours et Angoulême par le chemin de fer, l’on serait tenté de supposer qu’il n’y a guère en ce pays que de vertes forêts, percées de nombreux cours d’eau de même couleur. Çà et là des champs blonds de leurs blés fraîchement fauchés viennent proposer une note agricole, ou des prairies pommelées de petits arbres.