Eh bien, j’en suis déjà à 20 polars de Ngaio Marsh lus sur ses 32, et je ne suis nullement lassé de ce marathon de délicieux romans vintage qui, bien au contraire, semble plutôt avoir un agréable effet stabilisateur sur mon humeur, actuellement aussi calme que les longues rues vides de Bordeaux. Le Ngaio Marsh dans lequel je me trouve pour l’instant a pas mal de chiens dans son décor et je réalise n’en avoir jamais fait figurer aucun dans mes Bodichiev – quelques chats, oui, mais n’étant guère amateur de la gent canine… Des chevaux non plus d’ailleurs, sauf pour de rares allusions. Et comme oiseaux, seulement quelques corbeaux et une volée de mouettes.