#5091

Du vivant de mon parrain, je ne me permettais pas de poster de photos de sa maison. Maintenant, allons, voici quelques clichés de ce paradis perdu. Un havre où je suis allé 5 années durant, plus particulièrement un week-end sur deux durant ces trois dernières années, l’été et l’automne. Ce fut une belle résidence d’écriture et de flânerie — un privilège.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *