Las après cette semaine d’intensif jus de cervelle, assis sous une fenêtre dans le soleil hivernal, les jambes encore tremblantes de diverses marches, crampes et compagnie, je renonce hélas à une manif plus de mon âge (!) et note juste une phrase sans contexte, dont faire usage un jour.
« Traversant le pré silencieux dans les senteurs du soir, alors que les tentacules diaphanes d’une brume blanchissaient les creux du terrain, Bodichiev réfléchissait. »