Je ne sais à quelle heure passent les facteurs, en ce moment: hier on m’a apporté un colis alors qu’il faisait déjà nuit, et ce matin je trouve du courrier dans ma boîte vide hier midi. Dont un manuscrit intéressant, si si, un manuscrit intéressant, c’est fou (mais l’auteur à déjà publié, that´s why). J’en lis déjà un, d’excellent manuscrit, et j’en ai un autre encore dans la liseuse. Sans parler d’un autre encore que je dois revoir attentivement avant de l’accepter. Très bien, cela me fera plein de lecture pour mes trois petits jours de vacances. Deux de ces manuscrits porte un titre en anglais, voilà qui m’embête, tout de même.
J’écoute les Original Mirrors, un LP qui tourne sur la platine que m’offrirent mes parents au Noël dernier. J’aime toujours cette musique adolescente sautillante et ces sons acidulés, ah, le clavier de « Chains of Love »… Descendu tout à l’heure au supermarché d’en bas pour acheter des biscottes, la radio y diffusait un air que je n’ai pas identifié mais qui relevait clairement des années 1980, Par association d’idées, ça m’a soudain rappelé que j’avais rêvé de Roland, cette nuit. Nous étions dans une maison dont la terrasse en angle aiguë surplombait la Loire, c’était beau. La la la la la la la !