Non mais je vous signale tout de même que j’ai été d’une sagesse exemplaire, cette année. Je n’ai rapporté de la Braderie de Lille, mon pèlerinage annuel, tout au plus qu’une grosse vingtaine de bouquins (essentiellement de l’enfantina). Soit l’équivalent de la moitié de la moisson de l’an passé, par conséquent. Je fus admirable de retenue.
Enfantina ? Qu’est-ce que tu mets sous ce mot ?
C’est le terme consacré, chez les collectionneurs de vieux livres, pour tout le domaine de la jeunesse — albums, romans pour ados et enfants.