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J’ignore tout à fait ce que mon long suffering apprenti pourra faire des deux grosses piles de feuilles en vrac que je vais rapporter. Qu’est-ce qui peut être exploitable dans ce fatras ? Time will tell. Je laisse encore chez Pagel des pochettes de vieille correspondance triées par Roland et des manuscrits soit publiés soit par d’autres — ça devra aller à la Maison d’Ailleurs, je crois. Il fait chaud sur le deck, la petite Iris me tient compagnie, un avion fissure le ciel bleu en grondant. Samedi immobile mais tête en vrac.

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