Ah oui, lu aussi une bêtise sans intérêt: The Last Templar, par Michael Jecks (j’ai failli écrire « jerk »). Du polar médiévalisant niaiseux, genre Ellis Peters mais en pire – si, c’est possible. Intrigue prévisible (l’intro casse toute possibilité de suspense, c’est idiot), décor trop léger, écriture quelconque… Un bouquin insignifiant.