Stress félin… Tout le week-end Nina, ma chatte, est restée planquée sous mon lit — sauvage, la petite bête: elle déteste que du monde vienne chez… nous. Elle n’a émergé de sa cachette qu’après le départ du dernier convive dimanche soir. Et s’est aussitôt mise à jouer, comme si de rien n’était, tandis que je rangeais le bazar dans le salon — image amusante de la bestiole tentant de chopper une madeleine tout au fond d’un sac en plastique…
Troc félin… Hier soir, Nina ne voulait pas manger sa pâtée. Elle vint quémander auprès de moi, alors que je dînais — ce qu’elle ne fait jamais d’habitude. Lui cédant, je lui ai finalement coupé un morceau de jambon de ma garniture de choucroute, que je lui ai mis dans sa gamelle. Joie de Nina, qui mangea avec entrain son jambon — et termina même sa pâtée dans la foulée. Elle revint ensuite voir si je n’avais pas encore autre chose pour elle — elle eut le droit de lécher le pot en verre du reste de crème brûlée. Elle alla ensuite dehors, et me ramena, toute contente d’elle, d’abord une sauterelle, puis une souris (morte, heureusement).