Je ne suis pas encore bien certain que l’expérience de Volage soit bien avisée — mais cela vaut le coup d’essayer, je crois.
Ces nouvelles-là valent-elles la peine d’être lues? La lecture morcellée & en ligne est-elle possible, souhaitable? Une chose est certaine: je compte bien sur cette nouvelle « pression » pour me forcer à avancer un peu plus rapidement sur certaines de ces nouvelles, inachevées. Tant il est vrai que j’éprouve toujours le besoin d’avoir des deadlines pour mes travaux, afin qu’un tel aiguillon me force à bosser. Cela fonctionne pour le présent weblog, qui me permet d’écrire régulièrement sur divers sujets, & ce très librement. Cela fonctionnera-t-il d’aussi fructueuse manière pour de la fiction? Nous verrons.
Joie aujourd’hui: un colis m’attendait ce soir à la maison, tout beau, tout frais, avec dans son dedans un sacrément bô livre: mon p’tit dernier, le Dictionnaire féerique. Encore plus superbe en vrai que je ne l’avais imaginé — ah, ces vernis sélectionnés, sur la couverture, & la belle photo de Lachâtaigne, & le pelliculage mat… Un plaisir.
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, un message sur le répondeur m’informait de l’arrivée à Lyon de mon stock du tout nouveau Yellow Submarine. Je vais faire en sorte de les récupérer jeudi prochain: chic!