#603

N’empêche que cette année je ne vais pas aller à Londres. Pour quelqu’un qui est malade de cette ville et y allait trois fois par an ces dernières années, c’est le chagrin. Et en plus, jusqu’en septembre s’expose à la Tate Modern une fabuleuse rétrospective sur Hopper, flûte de zut. Frustration.

Alors j’écris sur Londres, je m’évade en brodant des promenades pour mes personnages. La chaleur s’étant éloignée, le temps est pour le moment idéal pour l’écriture créative, je trouve. J’ai mis au propre mes journaux, aussi. En cédant à la tentation de couper ici et là, lorsque je trouvais que des sentiments dépassaient un peu trop des mots.

J’ai deux romans en lecture, actuellement. Légère angoisse. Faudrait que je me remette à bosser sur deux autres, abandonnés il y a une éternité ou deux. J’ai terminé (pour le moment) de bosser sur le Panorama illustré de la fantasy & du merveilleux. Les épreuves à corriger sont toutes en voie de transit postal vers les correcteurs et les auteurs, ainsi que vers quatre journalistes qui les avaient demandées. Croisons les doigts. Et espérons qu’il y aura des souscriptions en nombre sympathique. Non pas que je compte dessus, mais ce serait une aide intéressante. 31 euros au lieu de 39, et avec le port compris. A vot’ bon coeur. 😉

Rien à voir: une info intrigante relayée par Neil Gaiman. Légende semi-urbaine?

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