Pour un message posté sur ce blogue, combien d’autres pensés, envisagés, mentalement rédigés, mais jamais concrétisés? Il faudrait par exemple que je me décide à broder autour de mon récent voyage parisien. Que je dise le bonheur intense ressenti à la lecture du dernier Murakami (Kafka on the Shore. Du bonheur différent mais non moins intense ressenti à mon début de lecture du dernier Vonarburg. Et idem encore à relire les deux Pagel que je publie fin janvier… Ou bien râler contre les célébrations de la victoire de Napoléon à Austerlitz — quelle indécence, personne ne veut-il se souvenir de quel tyran il s’agissait? Mais enfin… Peut-être un peu de flemme, et puis tant de choses à faire, et puis un invité, et puis… La vie, quoi. Agréable et bousculée.