Finalement, Macron c’est le syndrome de Tintin : un personnage lisse et creux, générique, que chacun peut donc remplir de ses attentes, un écran vide où l’on se projette. La ligne claire de la politique.
Finalement, Macron c’est le syndrome de Tintin : un personnage lisse et creux, générique, que chacun peut donc remplir de ses attentes, un écran vide où l’on se projette. La ligne claire de la politique.