Tiens, Modiano évoque les souvenirs « vers cinq heures du matin, à l’heure dangereuse où vous ne pouvez plus vous rendormir ». Ça m’a fait ça ces dernières nuits, mais la chaleur est également coupable, et puis de toute manière je n’aime jamais l’été, cette saison triste. Enfin, entre deux dossiers je m’accroche toujours à mon roman, j’ai même l’impression de bien avancer, au moins ça occupe la tête. Ce soir il flotte dehors une odeur de bougie.
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