#5071

D’ordinaire, durant la période estivale je mets l’édition en pause et me consacre essentiellement à l’écriture de tel ou tel livre. Cette année hélas, une telle respiration ne m’est guère possible, entre des bouquins à boucler, des changements à gérer, des projets à mener et des travaux à suivre, la coupe est pleine. C’est donc seulement le week-end, cet été, que, m’étant trouvé une rurale résidence d’écriture, je fais retraite pour essayer de rédiger le huitième Bodichiev, Les Mystères de l’Empire, à l’ombre des grands cyprès. Un roman écrit dans la chaude senteur de résine.