Afin de gagner ma résidence d’écriture du week-end, il y a une bonne vingtaine de minutes de marche à pied depuis un terminus du tram. Je me suis donc de nouveau levé à 7h ce matin, pour faire le trajet à la fraîche. Agréable impression de havre lorsque j’atteins ces prairies et ces grands arbres au-dessus desquels tourne l’appel sifflé des éperviers. Un air frais coule encore à cette heure. Je pense être proche de terminer la première partie de mon roman — sans doute la plus importante en nombre de signes.
#5066
Répondre