Période estivale, propice aux lectures documentaires. Tout en poursuivant ma découverte amusée et plaisante de Ngaio Marsh, dont j’entends bien lire les 32 romans policiers, j’ai repris L’Affaire Saint Fiacre de Simenon car la nouvelle en cours s’en reflète en partie, et surtout je cogite à ce que je pourrais écrire ensuite, l’été prochain. Un roman autonome dans l’univers de Bodichiev mais sans ce dernier ? Reprendre mon vieux projet de roman choral sur Bordeaux dans les années 1980 ? Essayer de mixer / transformer les deux ? Pour ambiances je lis du Eugène Dabit et du Francis Carco, deux de mes écrivains urbains favoris.
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