Humble bonheur du bookaholic : je viens d’installer les deux dernières étagères, dans mon bureau-bibliothèque, et d’y ranger les livres sur Londres qui ne l’étaient pas encore. Non, c’est tout.
Archives de l’auteur : A.-F. Ruaud
#2507
Samedi frais et blanc d’automne, un jour à siroter du thé au caramel en lisant un auteur néo-zélandais de science-fiction, sur fond de musique d’Andrew Bird, un peu stone du sirop contre la toux.
#2506
Du quotidien du capitaine… Acheté trois nouveaux thés, afin de changer un petit peu. Rempli un monceau de papiers officiels, pour la compta, les impôts, les télérèglements, les subventions. Fais deux nouvelles couvertures d’Hélios, tout de même. Lu un polar. A l’épaule moins douloureuse suite à anti-inflammatoires prescrits par la compagne médecin d’un (vrai) ami. Enrhumé, trachéite, donc un peu ensuqué (en tourangeau : enchiffrené). Donné deux cartons de bédés et de bouquins à Laurent, c’est toujours ça de moins dans le fatras du couloir. Rangé la cave. Lu un autre polar. Acheté deux bédés que j’ai déjà mais dans de nouveaux formats que c’est si beau comme ça (Dupuis veut ma ruine). Expédié plein de colis. Reçu plein de colis. Mon assistant bosse hypra bien mais en plus il fait ultra bien la cuisine. Discuté de Mickey Parade sur FB, c’est quand même top. Attendre le nouveau Doctor Who tous les samedis c’est très top aussi. Vu un nanar de série Z avec Sherlock Holmes, des dinosaures et du steampunk. Lu un manuscrit super bon avec presque Fantômette dedans.
#2505
N’ayant pourtant point dégusté de grands crus, vu que j’ai séché le dîner de gala pour cause d’épaule froissée et de fatigue généralisée, j’ai malgré tout vu double lors du salon Lire en Poche de Gradignan – Loïc Henry et Léo Henry, lequel est l’evil twin de l’autre ? À part ça il faisait un soleil radieux et le lieu est toujours aussi beau, cette médiathèque moderniste flottant à l’horizontal sur de doux vallonnements verts, mais les ventes ne m’ont semblé guère nombreuses. Ce pot en terrasse pris en compagnie de Dominique Douay, Fabrice Mundzik et Mérédith Debaque, dans la lumière rasante de fin de journée, fut un joli moment de grâce. Aujourd’hui cela risque d’être une autre chanson niveau temps, vu ce qu’annonce la météo. L’automne est là. Tant pis, dîner avec les copains ce soir, c’est toujours aussi agréable.
#2504
Pendant que les bigots, les fachos, les barjots et les pervers vont défiler en ville, moi aujourd’hui je prend la tangente direction banlieue, filant à Gradignan (Lire en Poche) pour causer d’Hélios et voir m’sieur Douay, na.