Ce n’est pas une surprise et c’est même excellent pour la nature, mais il pleut, beaucoup, et ça ne se prête guère à des photos comme le voudraient désormais Insta et autres rézo. Je suis donc un peu silencieux en ces pages virtuelles, concentré sur la ronde des réunions et des boulots éditoriaux. Suis en train de lire le superbe essai de Rebecca Solnit sur Orwell et ses roses. Reçu un premier exemplaire de mon nouveau livre à moi que j’ai, nouvelle édition façon beau livre tout couleur de la bio de Holmes coécrite avec my old chap Mauméjean, le professeur X, énorme travail iconographique en plus. Et j’avance tranquillement sur un petit roman steampunk avec un ami, pour le plaisir d’écrire.
Archives de catégorie : écriture
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Et encore un week-end à Champignac, en chaud et froid. J’essaye de tenir un bon rythme d’écriture. Moi qui me demandais ce que je ferai post Bodichiev, me voici à bosser de front sur trois projets : finir une novella pour Laureline Mattiussi (pour paraître en « bibliothèque dessinée »), en avancer une autre avec mon cher Basile Cendre (idem, avec David De Thuin), et labourer énergiquement le terrain d’un roman steampunk avec mon excellent camarade Alexandre Mare. Tout cela m’occupe de fort amusante manière et m’agite les neurones. S’ennuyer serait la pire des choses.
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Eh bien, j’en suis déjà à 20 polars de Ngaio Marsh lus sur ses 32, et je ne suis nullement lassé de ce marathon de délicieux romans vintage qui, bien au contraire, semble plutôt avoir un agréable effet stabilisateur sur mon humeur, actuellement aussi calme que les longues rues vides de Bordeaux. Le Ngaio Marsh dans lequel je me trouve pour l’instant a pas mal de chiens dans son décor et je réalise n’en avoir jamais fait figurer aucun dans mes Bodichiev – quelques chats, oui, mais n’étant guère amateur de la gent canine… Des chevaux non plus d’ailleurs, sauf pour de rares allusions. Et comme oiseaux, seulement quelques corbeaux et une volée de mouettes.