#2543

Je lis Le Nombril du monde de Roland C. Wagner, que je n’avais jamais lu, repoussé que j’étais par l’une des couvertures les plus atroces qui ait jamais été glissée dans ma bibliothèque : eh, mais c’est très bien, tranquillement fun et niveau Futurs mystères, cette « petite musique » spécifique à Roland, un chouette petit roman… ça me fait un plaisir très doux que de lire un Roland pour moi inédit. Je sens que je vais le rééditer. Je ressors aussi sa Saison de la sorcière, en novembre, ça aussi c’est un grand plaisir. Et on cogite à un ou deux petits recueils originaux.