La lumière a retrouvé ses tons habituels, le soleil n’est plus ce rouge globe d’apocalypse et dans un même temps la température commence un peu à refluer. Je reste dehors, lisant et écrivant (un roman, un essai), soulagé dans le tremblement des frondaisons et les babillages d’oiseaux de ce suffoquant silence des jours cloîtrés.
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