La nuit dernière encore, j’ai rédigé en partie deux scènes, me suis même relevé un moment pour vérifier quelque chose… alors que je suis incapable de me motiver le samedi ou le dimanche dans la journée pour écrire un peu. C’est légèrement absurde et sans doute un rien déplorable pour ma santé, mais enfin le roman avance ainsi à petits pas nocturnes. Les trépignements feutrés d’une averse sur le vasistas accompagnèrent d’ailleurs ces notes ; au matin cependant une belle et grande lumière me rassura quant à ma promenade hebdomadaire, purement urbaine cette fois et touristico-librairienne, un terme qui devrait exister.
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