#2836

La majeure partie de mon équipe est en route vers Paris, pour le Salon Fantastique — je vais me sentir un peu seul, snif. Mais il faut dire que je monte justement à Paris la semaine prochaine, en coup de vent, juste le temps d’aller visiter les entrepôts de MDS à Dourdan, notre nouveau distributeur, avant de filer à Londres pour une petite semaine d’une détente bien nécessaire (faut que j’me calme). Eh oui, Londres encore, Londres toujours, et il convient que j’en profite car hélas mes amis vont vendre l’appartement qu’ils me prêtent depuis pas mal d’années. Bon, d’autres voyages sont déjà à l’étude avec mes camarades ovins, dont l’un au Québec, mais Londres, quoi, il me serait difficile de ne pas y revenir de manière régulière. Tout comme de façon livresque, puisque j’ai récemment publié London Noir, un petit guide de la capitale britannique de 1860 à 1960, et que mon court roman de cet été (actuellement en lecture chez les éditeurs) s’y déroule comme de juste.

#2835

Week-end extrêmement studieux, dans la cave du camarade Pagel, penché sur les cartons et la petite malle d’archives de Roland. Il y en a pour plusieurs années de publication de dossiers, la série entamée chez Yellow Submarine promet d’être longue et riche.

#2833

Je cogite beaucoup à un roman, en ce moment — mais ne pouvant guère écrire que l’été, l’exercice est un tantinet frustrant, assurément. Enfin, ces jours-ci je sors deux nouveaux bouquins, savez-vous ? Oh pas vraiment des nouveautés, mais des nouvelles éditions, complètement repensées : London Noir reprend en les retouchant ma série d’articles sur Londres de 1860 à 1960, « De Sherlock Holmes à James Bond » est son catchy sous-titre, et j’espère avoir concocté avec ce joli petit pavé un beau & original guide de ma métropole favorite. Un travail d’amour, quoi, et de longue haleine — normalement je retourne d’ailleurs encore me promener à Londres, le mois prochain, si Brexit le veut. Et puis l’autre, grand et sacrément beau, tout en sépia sous la verte couverture d’Amandine Labarre, est la dernière incarnation d’un projet que je porte depuis… ouch, la première version date de la fin 2002, le Dico féerique, et depuis je ne cesse d’ajouter, reprendre, retoucher, ajouter encore — avec l’aide de pas mal d’amis, je n’ai pas tout fait tout seul ! Et il y a des tonnes d’illustrations, aussi. Bref, deux ouvrages issues de loooongues passions…